L’hiver approche. Et avec lui les jours qui réduisent et la luminosité qui baisse. Et pour travailler efficacement, la lampe de bureau devient non seulement utile, mais rapidement indispensable. Parmi les solutions disponibles, j’ai testé la BenQ ScreenBar. En effet, elle présente comme avantages de ne pas prendre de place sur le bureau. Et de diffuser une lumière douce.
Et comme la promesse de BenQ est “augmenter le confort de travail et la productivité“, on reste dans la logique OutilsNum de vous présenter des outils d’efficacité professionnelle.
Je livre mes premières impressions. Et vous donne mon avis sur cette lampe de bureau dans cet article, et la vidéo qui l’accompagne.
Pourquoi une lampe de bureau ?
Mon environnement de travail est optimisé. En terme d’occupation d’espace. Et en terme d’éclairage pour les visio et les vidéos de mes formations.
Tout d’abord, pour libérer la surface du bureau, tout est sur un pied central. Mon ordinateur, son deuxième écran, et même les éclairages. La surface du bureau est donc totalement dégagée. Ce qui est bien pratique pour poser des documents.
Mais, par la même occasion, je n’avais jusqu’à présent pas de lampe de bureau. Ce qui commençait à poser problème en début ou fin de journée.
Pourquoi la ScreenBar ?
Dans le cadre du mois de la productivité, BenQ m’a contacté pour tester leur produit. La promesse est en effet alléchante : une barre lumineuse qui éclaire le bureau de façon douce et efficace. Et qui ne prend pas plus de place sur le bureau. Comme le reste de mon installation.
Précisément, BenQ propose 3 versions de son produits
- ScreenBar (celle que j’ai testée ici)
- ScreenBar Plus, avec télécommande
- ScreenBar Lite, pour ordinateur portable
Déballage – c’est parti pour une vidéo unboxing !
Le contenu du carton est très simple
- un pied, qui vient s’ajuster sur le moniteur
- un cable USB-A vers USB-C pour alimenter la lampe
- une barre lumineuse – c’est la lampe 💡
Et pas de manuel.
Juste le nom des 4 boutons tactiles présents sur la ScreenBar – en anglais
Ces boutons sont :
- marche / arrêt
- luminosité automatique
- règlage manuel
- température de la couleur
On revient sur les fonctionnalités juste après. Ce qui est pratique avec le réglage automatique, c’est qu’on est vraiment en mode “set and forget”. Une fois la lampe installée, elle diffuse la lumière optimale sans avoir à jouer avec les boutons.
Installation de la ScreenBar sur mon moniteur externe
La ScreenBar s’installe sur le haut du moniteur. L’ensemble est conçu pour tenir sur tous types d’écrans. Et effectivement, l’installation physique est simple et rapide.
Au niveau alimentation, BenQ met en avant la connexion directe sur le moniteur. À condition bien sûr que celui-ci propose des ports USB. En effet, le mien doit commencer à se faire vieux, car il n’a que des ports vidéos. Aucun port USB sur mon écran.
Je dois donc trouver un port libre sur mon ordinateur. Plus précisément sur la station d’accueil, car le MacBook Air n’a que 2 ports USB-C. Ou utiliser un cable USB-C vers USB-C que j’aurai acheté par ailleurs.
Utilisation de la BenQ ScreenBar au quotidien
À l’allumage j’ai deux surprises.
La première, c’est qu’effectivement l’écran reste parfaitement lisible. Heureusement ! Le faisceau lumineux est bien dirigé vers le bureau, comme promis. Pas de reflets sur le moniteur externe. Et le fait que la lampe soit positionnée sur l’écran ne gêne pas du tout la lisibilité.
La deuxième surprise, c’est la douceur de l’éclairage. En mode automatique, on note un temps d’adaptation, puis la douce lumière fait son travail. Précisément, elle se cale sur une luminosité de 500lm. Et avec le mode manuel, je peux monter à 1000lm si nécessaire.
Mon cas particulier : un écran externe sur bras articulé
OK la lampe prend peu de place et elle éclaire bien.
Mais est-elle utile ?
Dans mon installation, je ne travaille pas en face de l’écran externe. Donc la lumière générée par la ScreenBar n’éclaire pas directement en face de moi, mais un peu sur le côté. De ce fait, mon bureau n’est pas éclairé en totalité. Je peux bien sûr déplacer l’écran pour déplacer la lampe. Mais dans ce cas c’est tout l’écran qui vient avec.
C’est assez surprenant. Potentiellement frustrant. Et en même temps, suffisant à l’usage pour voir les documents et écrire.
Conclusions – la ScreenBar est-elle pour vous ?
Sans la prise de contact de BenQ, j’aurais simplement installé une lampe de bureau “traditionnelle”, avec son pied et son éclairage directionnel. C’est d’ailleurs ce que j’avais avant de rationnaliser mon équipement. Après installation de la ScreenBar, je suis d’accord avec les deux bénéfices de place et de qualité d’éclairage. Et satisfait de la solution.
En préparant cet article, j’ai découvert le marché de ces “lampes pour moniteur”. Dont les prix varient de 20€ à plus de 100€, avec des niveaux de performance et de qualité proportionnels.
Je ne peux évidemment pas parler pour les autres produits. Celui que j’ai testé est vendu 99€ sur le site BenQ. Entre autres avantages, sa durée de vie de 50 000h est présentée comme deux fois supérieure aux autres lampes du marché. Et 50 000h, à raison de 8h par jour, ça fait quand même 6250 jours, soit 17 ans si vous l’utilisez tous les jours !
Et bien sûr le réglage automatique de luminosité fait qu’on oublie rapidement la technique pour se concentrer sur les bénéfices.
Au final, voici ce que j’ai pensé de la ScreenBar :
POINTS FORTS
- gain de place (pas de pied sur le bureau)
- luminosité automatique et douce
- choix de la température de couleur si besoin
POINTS D’ATTENTION
- installation sur une configuration multi-écran
- prix ? que valent les solutions à 30€ ?
Mon test en vidéo
Retrouvez sur la chaîne YouTube OutilsNum mon test complet. En 10 minutes, je vous montre mon bureau, mes besoins. On déballe et on installe ensemble la lampe. Et je teste en conditions réelles la luminosité apportée par la ScreenBar.